My Heart Will Go on || Mon coeur bas pour toi. Le destin ne changera certainement pas ce lien qui nous unis. Même par dela la mort je serais toujours là parce que je t'aime. [PV : Dean Winchester et Castiel | Hot |]

Je l'avais a mon tour écouter comme nous le faisions assez souvent lorsque je venais sur terre histoire de le mettre en garde sur certaine affaire ou tout bonnement le guidé vers sa destinée.. Il ressentait la même chose a mon agars. Même si au départ j'avais plutôt parié sur notre lien sacrez. Rien que ça. Mais pour lui j'étais près a tout les sacrifices. J'en avait fait un en défiant les miens est en le ramenant a la vie sur terre. C'était de l'égoïsme pur et simple. J'en était conscient est alors. Maintenant je ne pouvais faire machine en arrière les miens avaient aussi leur doutes concernant mes sentiments. Je serais prêt a les affrontez le moment venu. Il ne devait pas savoir non plus ce qui lui prenait ou alors avait il dit ça simplement pour ne pas me blesser. Car je tenais a lui. Seul le temps pourrait nous le dire mais je savourais cette soirée passé là simplement a ses cotés. De ne pas entendre une famille sans cesse en train de se disputé pour le pouvoir a tout bout de champs. Être avec lui, c'était vraiment le Paradis. Il m'avait appris beaucoup de chose comme le fait d'ouvrir un peut mon clapet moi qui obéissait comme un gentil petit soldat. Maintenant je remettais souvent mon aîné a sa place ce qui m'avait valut une grosse galère de la part de Raphaël. Nos frère n'approuvant pas toujours notre discorde. Je redressais alors la tête cherchant son regard vert qui m’était si familier :

« - je ne savais pas comment tu réagirais lorsque tu l'apprendrais. »

je baissais une nouvelle fois la tête lorsqu'il vint ensuite au fait de son comportement a mon égard. Mais je le prenais comme il été. L'enfer n'avait pas été tout rose avec lui. Depuis le paradis j'avais tout suivit ce qui avait finalement fini par atteindre quelques peut mon esprit. Je ne lui en voulais donc pas :

« Au contraire , tu as été quelqu'un de fabuleux tu ne peux pas savoir. Je ne serais jamais devenu celui que je suis aujourd 'hui sans ton soutiens. Je serais encore enchainer a mes supérieurs comme un simple chien chien qui fait tout ce qu'on lui demande. Pour toi je serais prêt a faire n'importe quoi quitte a trahir ma famille.... »

J'avais sentit ses pensées qui le travailler je lui redressais alors légèrement la tête est observa une nouvelle fois ses traits si parfait. A vrai dire je comprenais maintenant Michel de l'avoir choisis. Mais il aurait put prendre quelqu'un d'autre. J'aiderai Dean coute que coute au péril même de ma propre vie s'il le fallait. Je l'invita donc a venir dans mes bras. Un sentiment étrange m'envahit c'était tout nouveau. Mais je voulais que sa ne dure toute l'éternité. Je m'étais toujours montrez froid est distant avec lui le pauvre je n'avais pas aussi toujours été agréable avec lui mais...C'était pour son propre bien. Est a présent il le savait.

Je devais surement rêver. Sa devait être ça. Un des miens ce jouer encore de moi une nouvelle fois. Prenant un de mes désirs pour une brusque réalité. Mais non. Je savais parfaitement que je vivais l'instant présent et que ce n'étais point un songe. L'homme que mon cœur avait si souvent désiré venait de m'offrir l'un des plus merveilleux cadeau que même le ciel ne pourrait me faire. Un de ses baisers qui vous coupe le souffle et vous déconnecte un instant de la réalité. Je lui répondit en le dévorant presque. Reculant par moment la tête afin de reprendre ma respiration. Lorsqu'il passa ses mains aussi douce qu'une plume du plus bel archange du paradis sous mon tee shirt je sentis le corps de mon hôte frisonner sous ses caresses.

Dans notre élan il m'avait presque jeté sur le lit m'ayant retiré mon tee shirt a présent. Je l'attirais contre moi étendant mes ailes noire sur la couchette qui quelques heures plus tôt qui lui avait servit de repos. A présent je m’empressai de lui retiré tout aussi sauvagement son tee shirt. Passant a mon tour mes mains sur le long de son corps si parfait. Lui caressant le dos a plusieurs reprise. Je repartis ensuite a la conquête de ses lèvres mais j'appréhendais. J'étais sur un terrain inconnu alors que lui maitrisais les choses a la perfection. Pour une fois il serait - mon guide – je pris a mon tour sa tête entre mes mains sentant mon corps devenir un peut plus chaud que d’ordinaire je lui murmura a l'oreille :

« -tu es ce que le ciel ma offert de plus précieux. Tu ne peux pas savoir oh combien je t'aime Dean. .. »

Était-ce une pulsion je ne pouvais le savoir moi qui avait toujours obéit au doigt et a l’œil me voici a présent dans le lit batifolant avec un humain qui de plus était mon protéger. Celui que j'aimerai a tout jamais. j 'aurai tant aimer lui dire tout ce que j’éprouvai a son égard. De toute façon je laissais mes sentiments parler ce qui n'étais pas plus mal. Mes mains continuèrent ensuite leurs courses vertigineuse vers les fesses de ce bel Apollon puis je m'arrêtais au niveau de sa ceinture je n'osais pas allez plus loin tant que je n'aurai pas eut son accord par pure peur de l'effrayer d'avantage...J'attendis donc de voir ce que nous réservais le destin en l'observant de mon doux regard bleuté...

Finalement ce fut lui qui me guidait. Après tout j 'étais en terrain inconnu mais que je voulais découvrir, en faisant bien les choses. Trop bien peut être. Mais je voulais au fond de moi que tout soit parfait. Laissant par moment mon instinct humain prendre le dessus je contrôlais certaine pulsion mais pas vraiment toute. Mais la tout en moi bruler d'impatience. J'ignorais si pour Dean c'était la même chose. Quoi qu'il en soit j'avais tellement reculer en l'embrassant aussi fougueusement que le pauvre humain venait de tomber sur le lit du motel que nous occupions alors. Je ne pus résister d'avantage. Au loin les orages grondaient puis la pluie commençait alors a tomber sur les fenêtres. Donnant a la pièce une certaine chaleur agréable. OK certes j’étais brulant comme un feu crépitant dans une cheminée mais...je ne pouvais plus résister c'était trop. N'écoutant enfin ce que je désirais le plus réellement je le rejoignais alors quelques instant plus tard sur le lit ou il se trouvait a présent. Lui offrant de doux baisers que le ciel n'aurait put imaginez. Nouvel orage. Je sentais que le ciel était en colère que je ne devrais pas agir ainsi. Mais, je venez de reniez le ciel pour un simple mortel que je perdrait peut être un jour. Je m'en moquais. Je l'aimais a m'en arracher l'âme si je le pouvais. Un orage plus puissant que les autres se fit entendre alors que je prenez place a califourchon sur mon bel apollon qui m'observait de son visage si parfait. Parcourant mes mains sur son torse j'en profitais a présent pour caresser ce qu'autrefois je n'aurais pas oser. A présent que j'en avait eut l'autorisation je ne m'y refuserais pas. M'allongeant contre lui je pris soins de l'embrasser vers la nuque tout en continuant mes caresses sous un ciel en colère que je n'écoutais a présent plus. Depuis trop longtemps enchainer a eux, les choses devaient changer. Et elle changeraient. Je remontais lentement vers son oreille pour lui murmuré a mon tour un« je t'aime » passionné. Ce n'est qu'ensuite que je lui dit :

« tu ne peux pas savoir a quel point je t'aime. Mais a présent que nous sommes ici. Je ne repartirais plus les rejoindre. Non. Je veux faire ma vie ici avec toi. Nous avons trop perdu de temps et quoi qu'il en soit j'aimerai qu'on le rattrape. Pour cela je te donnerai une partie de ma grâce qui ma été accorder par mon père pour te montré mon amour a ton égard... »

Je continuer de caressé ses entres jambes car jusque la ce luxe ne m'avait pas été accorder. Mais sentant ses pensées il avait a peut près la même idée que moi de la tournure que la soirée allez prendre. Nous attendions visiblement tout deux sa. Et le lendemain je le regarderai dormir étendu la dans un duvet de plume noire. Je le regarderai alors profitant de ses doux traits si parfait. J'en voulais tout de même a mon père d'avoir crée les humains aussi parfait que nous. Je comprenais aussi son amour a leurs égard après tout j’étais en train de le vivre a l'heure actuel avec l'homme que j'aimais. Qui quelques moi plus tôt aurait du devenir un des miens. Mais le perdre, aurait été pour moi une déchirure. Un mal impossible a soigné. Et ce ...Même avec le temps...

Nous avions enfin décidez de vivre pleinement notre désir, oubliant tout ce que l'on savait de la milice Céleste. Il était vrai javais peur mais, cela se produisit assez vite sans que je ne m'en rende compte. J'avais continué mes caresses afin qu'il soit vraiment a l'aise tout en maintenant le lit auxquels je devais dire je n'avais pas confiance du tout. Les grincements devenaient de plus en plus sonore, c’était...étranges, mais peut être cela était normal. Je le sentis alors rentré en moi, un bref instant de douleur, je serais la tête de lit enfouissant mon visage dans l'oreiller afin d’étouffer un léger gémissement de plaisir...Car en comparaisons de ce que j'avais put voir cela ne me semblait plus étrange je comprenais mieux a présent pourquoi la personne qui subissait hurler la plupart du temps. Elle était...heureuse, heureuse de ce que lui offrait son partenaire. Je sentis mon dos ce contracter alors qu'il avançait plus profondément découvrant ainsi le corps sublime que j'empruntais. Je serais une nouvelle fois la tête de lui redressant la tête afin de lui laissait plus de champs libre mais finalement ce fut une autre douleur qui serait certainement la dernière qui me fit une nouvelle fois gémir de plaisir. Je sentais qu'a présent tout allez bien ce passé comme si le pâtissier laisser couler le caramel sur un éclair au caramel.

Je continuais mes caresses tout en lui envoyant des pensées de bien être, mon corps restait a parfaite température et je sentais le siens qui commencer a son tour a devenir un peut plus chaud que d 'ordinaire. Je retirais doucement mes mains du lit afin de les posés près des bijoux de famille de mon chou pour lui faire comprendre d'arrêté ne serait-ce qu'un instant. Mais je savais que chez les humains par le biais de documentaire que mon professeur m'avais gentiment montrée qu'une fois passé a l'acte il était difficile d'arrêté. Je me résolu donc a protesté. Il continua son mouvement du bassin puissant et doux a la fois accélérant par moment je sentais le bien être monté en moi jusqu’à finalement hurlé de plaisir comme la femme qui dressait se pauvre livreur de Pizza. Puis je lui dit tout en caressant son torse tiède :

« - j'ai compris pourquoi la serveuse se m’étais a crié a présent, et je dois dire que...ce n'est pas désagréable du tout....oui... »
Et voilà mon bel étalon qui ne m'écoutais plus, c'est vrai il devait bien ce moquer d'une simple histoire de love story de film a regarder a la télé. La réalité était beaucoup plus plaisante que ce qu'elle laisser voir au delà d'une série d'image animée. Je voulu me tourné vers lui pour l'embrassais, mais je sentis qu'il taper mon fessier, intrigué je ne put m’empêcher de lui demander :

« pourquoi tu me tape... » Oo

voilà qu'a présent je me sentais monté au septième ciel avec mon apollon grecs sous un ciel déchaîne comme jamais. Tout comme mon choupinet l'était.

Il n'arrêtait pas pour autant ses mouvements si parfait du bassin histoire de me communiquer d'avantage du bien être. Ce qui se produisit évidement. Je tenais tellement fort le lit que j'avais bien peur qu'il cède dans la soirée. Comme quoi nous devrions payé les dégâts que nous avions fait. Un nouveau gémissement de bien être franchi mes lèvres sans que je ne puisse le retenir toutefois. Après tout ou était le mal. Je n'en voyais aucun a ce que nous étions en train de faire. Le tonnerre éclatât sur le toi du motel. Je mordillais la nuque de mon beau blondinet sans toutefois arrêter de caresser ce corps si parfait. Il en fit de même plus rien ne comptait a présent mis a part le bonheur que nous éprouvions alors. Je reculais ensuite la tête amusé par sa réplique comme toujours. Il avait toujours eut se sens de l'humour unique en son genre. Finalement le lit ne tint pas le coup puis un crac sonore se fit entendre. Pendant la chute du lit, Dean se retrouva sous moi ce qui le fit rire et je joignit mon rire au siens. Posant une main sur son torse :

« - je crains que nous allons devoir remboursé un lit mon cher... »

Je lui adressais un clin d’œil complice, puisque nous étions tout deux fautifs dans l'histoire finalement. Je ne pus m'empêcher de rire de nouveau. Rien qu'a l'idée d’imaginer la femme de la réception lui annoncer que nous lui offrons un lit puisque nous venons de cassé le leurs. Les pauvres. Quoi qu'il en soit mes lèvres réclamèrent pour l'instant un baiser passionné qui se valait tendre a la fois. Mes mains glissèrent le long des cotes du beau blonds le laissant se retournée avec subtilités. Finalement ses caresses m'avait bien aider a présent je savait que c’était mon tour de le satisfaire. Après tout il l'avait bien m'herritait. Je m'installais sur lui confortablement puis commencer a massé ses épaules toute tendu après l'effort qu'il venait de faire. J'en profitais alors pour entrée en lui avec douceur comme si nous étions fait l'un pour l'autre et ceux depuis toujours. Continuant mes massages le long de son dos je commençait alors de légers mouvements du bassin tout en déposant une cascade de baiser le long de son coup ce qui lui provocat de léger frisson. Pendant ce temps je continuer d'entrée en lui de façon si parfaite que je m'en étonnais moi même.

Finalement l'orage décida de tomber sur le toit. M'allongeant doucement sur lui pour éviter qu'il ne reçoivent des débris sur sont beau visage, je sentis une douleur immense se rependre dans mon corps. J'avais l'impression que mon dos venait de se coupait en deux. La douleur était-elle quel que je n'avais put empêcher de lâcher un hurlement digne de ce nom. Pivotant sur le coté tant bien que mal pendant que je sentais Dean inquiet je sentit quelques chose de frais couler le long de mon dos. Passant ma main sur le milieux du dos ou javais le plus mal je la retirée avec précaussion, tremblant sous la douleurs et luttant contre les larmes. Je vacillait dangereusement, ou plutot non...Le lit tanguait bien que se soit la douleur qui éveiller de tel émotion en moi, je voulais serrer Dean tout contre moi le sentir aurait était un soutiens autant physique que morale, mais de toute façon javais compris. J'avais compris en retirant ma main de mon dos et en la fixant avec effroit. Regardant les alentours nous étions entourée de plume noire fumante qui venait d'être carbonisées. Puis mon regard froid et dur a présent se reporta sur ma main immaculée de rouge. Bien évidement les draps aussi l'était. J'évitais de croiser le regard de Dean pendant de bonne minute.. Puis finalement je ne put m'empêcher de laisser la panique me gagner. Mais la douleur était horrible, je me sentais d'avantage fiévreux des vertiges suivit d'une bonne nausée. Un peut comme une bonne grippe hivernale qui nous fait un mal de chien, mais ma douleur vertébrale était tel une fracture que l'on avait pas soigner a temps. Je tombait presque sur Dean désormais et ne put m'empêcher de murmurée avec le peut de force qui me restait :

« - Me....me laisse pas...C'est...non...c'est pas ta faute... »

Finalement j'étais plus en train de déliré qu'autre chose. Je le sut bientôt lorsque mes paupières se fermèrent et que je perdit connaissance. Me tenant a lui, comme un marin qui amare son bateau par peur que celui ci ne s'éloigne....Pour Dean c'était la même chose, il était a présent mon port d'attache. Est s'il ne m aimait plus parce que je n'étais plus son ange. Après tout cela se pourait, mais les rêves étranges est agressif de bataille au paradis d'un dieux en colère détruisant la terre et d'un humain mort dans mes bras prirent possession de moi. J'avais chaud une chaleur insuportable est pourtant au fond de moi une petite part de bonté me disais de tenir bon une voix dans ma tête qui me rassurait....

J'ouvris doucement les yeux sentant quelques chose d'humide sur mon front. Ma vision étant quelques peut trouble je reconnut le doux visage de l'homme de ma vie devant moi. Levant doucement ma main droite qui provoqua une vive douleur le long de mon échine. Je caressais sa joue tout en grimaçant légèrement puis dit calmement mais assez audible ment pour que Dean seul puisse l'entendre :

« -Que c'est-il … passé...J'ai...ma.... »

je préférai éviter de parler de ma douleur comprenant rien que par le biais de son regard il se sentait coupable alors qu'il ne l'était pas. Seul le ciel l'était finalement. Ce qui ne m'étonnais vraiment plus de nos jours. Je sentis toutefois des larmes rouler sur mes joues, pas des larmes de tristesse comme j'aurai pu le croire mais, c'était mon hôte qui souffrait tout autant que moi de la douleur qu'il pouvait ressentir. Ce n'était qu'un long est pénible moment a passé mais petit a petit mes pensées revenir de nouveau... Je soutenais le regard de Dean comme un enfant perdu qui avait fait une faute grave voir presque irréparable. Ce qui n'était pas tout a fait faux vu dans l'état dans lequel je me trouvait actuellement.